Unité Centrale de la Diaspora Rdc

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JE SUIS UN LEADER;TU ES UN LEADER;IL EST UN LEADER..nous sommes des LEADERS

Je suis un leader, tu es un leader, il est un leader… NOUS SOMMES DES LEADERS

 

 

 

Toute personne née de la femme a sa place dans le monde où elle est destinée à briller.

La société dans laquelle nous vivons a défini le pouvoir comme un objectif seulement  à la portée d’une élite, un groupe de gens prédestinés à diriger les autres. C’est une formule spécifiquement gréco-romaine. Leur philosophie sur le pouvoir découle d’un mensonge universel qui dit que vous devez être né dans une certaine classe choisie dans le phalanstère ; alors pour eux l’oppression des moins fortunés n’était pas seulement un événement de société, mais la seule façon de garder la classe soi-disant supérieure au pouvoir avec une main mise de plus en plus imposante sur la société.

Ce mensonge a été utilisé pour dominer le monde et soumettre les gens à des conditions inhumaines à savoir l’esclavage, la colonisation, conditions d’échanges commerciales inégales et tant d’autres maux dans le monde tel que nous le connaissons aujourd’hui.

Les puissances occidentales ont imposé des enseignements qui se rallient à cette mode de pensée dans les systèmes scolaires de leurs colonies et de millions de personnes vivent aujourd’hui avec ce sentiment d’impuissance comme une règle naturelle des choses. Je la réfute sans réserve. Aucun humain n’est né esclave de l’autre.

Si ce principe était si vrai, alors dites-moi pourquoi les gens qui ont vraiment touché le monde entier en instaurant un réel changement dans les sociétés à travers le monde sont (TOUS) venus des milieux très modestes?

Dr Martin L. King Jr., Mahatma Gandhi, Nelson Mandela, Patrice E. Lumumba, Thomas Sankara, pour n’en citer que quelques-uns. Ces personnes sont venues de ces sociétés opprimées et ont laissé un impact sur le monde au-delà des changements sociaux, au-delà de leurs inspirations, et ont véritablement redéfini le statu quo politique dans le monde.

Le changement qu’ils souhaitaient n’était pas vraiment politique, mais social. La société est, en substance, le lieu d’origine de tout pouvoir, tout gouvernement conçu loin de la masse populaire ne servira que l’élite et la majorité de la population n’en profitera et n’y participera jamais.

En partant de ce mensonge gréco-romain sur le pouvoir, aujourd’hui institutionnalisé, l’Afrique et les autres soi-disant pays du tiers monde ont souffert d’un complexe d’infériorité qui peut être retracée jusqu’à la tête de nos dirigeants actuels qui sont par nature impuissants, domestiqués et ignorants de la vraie scène politique mondiale.

En tant que membre de la nouvelle génération d’Africains, ceux qui croient à l’égalité de toutes les nations sur la scène internationale, car aucun pays n’est une île écartée des autres, toute économie dans le monde est tributaire de la performance ou les ressources des autres nations ; je m’obstine à rejeter cette notion bien que populaire, sur qui peut diriger et qui ne le peux pas.

Personnellement, je refuse d’accepter que je suis sur terre pour observer les autres, je suis ici avec les mêmes droits et obligations, les mêmes devoirs et privilèges, parce que nous sommes créés avec les mêmes capacités physiques et intellectuelles.

Par conséquent, je crois que je suis née pour diriger, même si les circonstances ont fait que mon lieu de naissance se situe au milieu de la pauvreté, la guerre, la famine, la maladie… Oui, au milieu de tout cela, j’ai aussi connu la joie, la paix, le confort, la bonne la santé comme n’importe quel autre humain sur la surface de la Terre.

La classe politique congolaise se croit privilégiée à contrôler le pouvoir à leur guise. Nous avons vu et vécu des successions de père à fils et d’ami à ami comme si le reste des congolais sont incapables d’assumer leur responsabilité civique.

Nous avons vu les Mobutu, les Kabila, les Bemba, des noms qui se veulent synonymes de pouvoir et pouvoir et pouvoir.

Quand est-ce que le jeune gradué de Mbanza-Ngungu prendre le rôle de dirigeant dans son pays, et le jeune de Kolwezi et celui de Bunia ? Tout congolais a le droit et l’obligation d’occuper des fonctions importantes pour assurer le bien-être de notre pays. Pas seulement un groupe qui s’impose depuis l’indépendance.

A mes yeux TOUS Congolais est né pour être au pouvoir enfin de contribuer au bien-être de notre nation, peu importe le niveau dans lequel ils se trouvent. Président, ministre, directeur, enseignant, conducteur, homme d’affaire, huissier, fermier… et j’en passe.

Il est temps que la jeunesse congolaise se réveille pour être compté et appelé à servir notre terre mère. Mais cela ne sera possible que si chacun de nous se considère exécuteur du testament des pères de notre indépendance; le rêve d’un Congo fort et totalement indépendant et fier.

Le temps du réveil a sonné…

Comme le dit si joliment le  Dr Myles Munroe, je cite:

CONFIRMATIONS

  1. Je possède une direction profonde sur le sens et la raison de mon existence.
  2. J’ai une vision claire de ma vie ; une vision personnelle et communautaire que je peux communiquer aux autres.
  3. J’aime servir les autres avec une passion d’améliorer leurs vies et de les aider à maximiser leur potentiel et de développer en eux le désir d’être leader.
  4. J’ai établi des objectifs clairs en conformité avec mes dons (le talent, les ressources, location) et les plans de Dieu sur ma vie.
  5. Je m’instruis spirituellement à travers les écritures, la prière et les pratiques de la foi divine.
  6. Je suis docile, comme j’espère le démontrer par l’étude, la lecture, l’écoute de ceux qui peuvent m’apprendre, et de bénéficier de mes erreurs.
  7. J’aiguise constamment mes compétences à travers la pratique, l’innovation et l’adaptation pour atteindre l’excellence.
  8. Je crois aux autres et leurs valeurs, ainsi que  leurs différences et leurs faiblesses.
  9. Je suis énergique et décisive, confiant en mes forces et mon rôle de leader tel que prescris sur ma vie par l’Eternel mon Dieu.
  10. J’ai l’intégrité dans toutes mes relations avec les gens.
  11. Je maximise mes chances et mon temps pour obtenir des résultats.
  12. Je suis un chef de file créé à l’image de Dieu et m’engage avec mes dons (talents, ressources …) pour le bien-être de mon pays.

C’est une obligation civique à TOUT Congolais de servir ce pays et maitre hors d’état de nuire, tous CEUX qui sont opposés à notre bonheur national.

 

Que Dieu bénisse le Congo…

 

Bentley Lumumba



24/09/2011
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