Unité Centrale de la Diaspora Rdc

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PROFIL DU BON PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE TEL QUE DRESSÉ ET RECOMMANDÉ AUX ELECTEURS FIDELES CATHOLIQUES

Kinshasa, 29/10/2011 


Le Conseil de l’Apostolat des Laïcs catholiques du Congo (CALCC) réuni en conférence sous les auspices de la hiérarchie de l’Eglise catholique vient de dresser un portrait de candidat modèle recommandé aux électeurs fidèles chrétiens, portrait dans lequel le président Joseph Kabila se moule parfaitement et mieux que tous ses autres concurrents

Alors que la campagne électorale a été lancée ce vendredi 28 octobre à 0 heure et que le CSAC a fixé l’ordre de passage des candidats présidents à travers les médias, les catholiques ont dressé un portrait du candidat idéal qui semble bien correspondre au profil du postulant de la Majorité présidentielle. La vision de Joseph Kabila Kabange rallie décidément les bonnes consciences catholiques.

« Il n’y aura pas de report, il n’y aura pas de changement de calendrier, rassurait le président de la CENI, Daniel Ngoy Mulunda, quelques jours, quelques heures avant le go final. Ça n’était pas Un canular. L’homme qui avait pris soin de débarrasser Kinshasa et toute la RDCongo des armes de la mort tenait à respecter sa parole. La démocratie RDcongolaise est bel et bien en marche.

Lentement mais sûrement, les RD-Congolais s’approchent de la date du 28 novembre 2011, prévue pour la tenue des élections présidentielle et législatives. Un pas de plus a été franchi ce vendredi 28 octobre 2011 avec le lancement officiel de la campagne électorale tant pour les 11 candidats Présidents de la République que pour les 18.500 candidats députés nationaux. Et, disons le tout de suite, de tous les candidats Présidents de la République, seul Joseph Kabila Kabange a l’avantage d’avoir un bilan à présenter, même si ses adversaires, à quelques exceptions près, ont été aussi vus à l’oeuvre dans la gestion publique tout au cours de l’histoire de la RD-Congo indépendante. 

Les catholiques semblent avoir opéré leur choix. A la faveur d’une conférence organisée à l’intention des intellectuels catholiques trois jours avant le début de la campagne et à un mois de la présidentielle du 28 novembre, le Conseil de l’Apostolat des Laïcs catholiques du Congo (CALCC) a d’ores et déjà défini son profil d’un bon candidat Président de la République et semble donner sa consigne de vote aux fidèles catholiques : choisir un chef qui doit être exemplaire sur le plan moral et éthique, autoritaire, non manipulable aussi bien par les puissances financières étrangères que par les lobbies internes, un chef qui ne court pas derrière l’argent et l’accumulation des biens matériels, un chef intègre, honnête et respectueux non seulement des engagements, mais aussi des principes qui fondent la vie publique, singulièrement l’assurance des convictions religieuses par la pratique non cachée de sa foi ainsi que le respect des lois et règles de la démocratie. 

Depuis, les questions fusent: « Qui des 11 prétendants au sacre répond parfaitement à ce portrait? » A qui profiteront les voix des catholiques ? Pourquoi le candidat de la Majorité séduit-il mêmes les plus sceptiques ? En lisant attentivement et sans passion ces critères; Joseph Kabila part avec les faveurs des pronostics. Les catholiques semblent être les premiers à faire la « com » pour JKK. Décryptage.

Un Chef qui doit être exemplaire sur le plan moral et éthique

Régulièrement le président Joseph Kabila est l’objet d’injures diverses de la part de ses adversaires politiques. Mais, jamais il n’a réagi à des attaques personnelles. Flegme, il a accepté l’humilité depuis qu’il est au pouvoir, jusqu’à accepter d’être traité sur un pied d’égalité au Dialogue intercongolais à Sun City dans le seul souci de faciliter la réconciliation nationale. L’exemple de son sens moral et éthique élevé du dépassement de soi a été démontré avec la composition du monstre 1+4. Il n’est pas personnellement impliqué dans des dossiers portant atteinte à la morale publique et à l’éthique. Il prêche par l’exemple, en sa qualité de premier citoyen, en payant l’impôt.

Chef autoritaire

Avec Joseph Kabila, l’autorité s’exerce dans les limites définies par la Constitution et les lois du pays qui consacrent la séparation nette des pouvoirs entre l’Exécutif, le Législatif et le Judiciaire. Dans ce contexte, politique démocratique, il assume pleinement un leadership responsable qui s’éloigne de l’autoritarisme et de l’interventionnisme permanent et intempestif - tant décriés par tous - du Chef dans tous les secteurs de la vie nationale. En présidant la réunion interinstitutionnelle, Joseph Kabila montre qu’il incarne au sommet l’exercice du pouvoir d’Etat. Il a réussi à arbitrer, sans heurts, le fonctionnement des différentes institutions du pays sans que l’on puisse assister à une crise gouvernementale ou à la dissolution du Parlement. Il a réussi à piloter un gouvernement des plus complexes avec quatre vice-présidents issus des mouvements rebelles et de l’opposition politique.

Chef non manipulable 

Joseph Kabila a résisté à toutes les pressions diverses en rapport avec les contrats et engagements pris avec des partenaires non traditionnels ainsi que des lobbies politiques, économiques nationaux ou internationaux, sa seule préoccupation ayant toujours été caractérisée par la reconstruction nationale. L’ancien ministre 1+4 des Affaires étrangères et député national Antoine Ghonda Mangalibi salue cette fermeté dans son nouvel ouvrage intitulé « Joseph Kabila, mythe où réalité? » en ces termes : « Il faut donc évoquer, sur le plan stratégique, ce trait de génie de concilier désendettement et reconstruction. Il faut aussi signaler l’épopée du contrat chinois avec, à la clé, la victoire de Joseph Kabila qui est parvenu à lancer deux équipes de négociations concomitantes qui ont obtenu des résultats à l’avantage de la RD-Congo.

Chef qui ne court pas derrière l’argent et les biens matériels

Joseph Kabila n’est pas adepte de l’accumulation des biens matériels. L’argent, il le mobilise et le met au service de la Nation. Mais il ne le distribue pas avec prodigalité comme durant la Deuxième République. Avec un sens civique élevé, il fait toujours la déclaration de ses biens chaque fois que cela est nécessaire. Exemplaire, il demande à ses proches collaborateurs et aux membres du Gouvernement et d’autres institutions de réduire leur train de vie.

Un Chef intègre, il l’est, honnête et respectueux non seulement des engagements, mais aussi des principes qui fondent la vie publique, singulièrement l’assurance des convictions religieuses par la pratique non cachée de sa foi ainsi que le respect des lois et règles de la démocratie.

Le respect de la parole et des engagements à l’égard du peuple est la principale force de Joseph Kabila. Il a réalisé et est en train de réaliser toutes ses promesses, à savoir : la réunification du pays, la restauration de la paix, la tenue des élections contredisant tous les pronostics négativistes - sans oublier la reconstruction et la modernisation du pays qui prennent déjà corps. Fervent croyant, Joseph Kabila place Dieu comme base de toute son action. En public comme en privé, il fait toujours référence à Dieu. La « com » des catholiques est une consigne. C’est un signal. Elle séduira certainement les adeptes d’autres confessions religieuses, la RD-Congo étant un pays laïc et vivant l’ère de l’oecuménisme. Kabila part en pole position. 

Sans conteste, le portait du virtuel vainqueur de la présidentielle du 28 novembre 2011, dressé par une structure appartenant à une institution aussi critique que l’Eglise Catholique universelle plébiscite un homme, Joseph Kabila, le candidat de la Majorité présidentielle, par rapport à ses concurrents. Outre ses aptitudes intellectuelles, mentales, physiques exceptionnelles, son expérience allie la totalité des traits ainsi définis. Au-delà de ces considérations, Joseph Kabila semble être le virtuel vainqueur. Il part avec les faveurs des pronostics. Ses atouts déterminants: l’ouverture de la scène politique, le quasi enracinement démocratique avec l’organisation des élections dans le délai constitutionnel, la relance économique, le retour du pays sur la scène politique internationale, l’amorce de la reconstruction et de la modernisation de la RDCongo. Compréhensible que JKK succède à JKK.

Natine K./AfricaNews



30/10/2011
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